T'as le don de me faire chier ! [PV : Shiki]

Aujourd'hui était un jour presque comme les autres pour moi. Comme tout le monde je me lève, et mon premier reflex c'est d'allumé la télévision et de me jeté sur le canapé. Ce matin, je me sens barbouillé, j'ai pas vraiment faim. Mais quelque chose vient m'ouvrir l'appétit. Le reste d'une pizza de la veille. C'est pas très féminin, je vous l'accord, mais je dévore ce malheureux bout qui n'avait, finalement rien demandé en regardant les informations.

Au retour de mes contrats, j'aime regarder ou lire le quotidien. En effet, on ne parle jamais de moi. Après tout, je ne suis pas influente et totalement inconnu dans le domaine de la politique, mais j'ai suffisamment d'information pour faire sombrer ce pays dans le chaos. Bah oui, quand des hommes d'affaires, qui, soit dis en passant, eux, sont influents, passent des contrats avec des tueurs à gages, vous apprenez deux ou trois informations croustillante au passage. Viols, empoisonnement, séquestration, complot et j'en passe. On voit de tout dans ce milieu.

Vous vous demandez surement pourquoi je ne fais rien ? La raison est simple. Ça ne m’intéresse pas. C'est leurs emmerdes, pas les miennes. Certes, ils s'en prennent à des innocents, mais je ne peux rien faire pour eux dans qu'un contrat n'a pas été passé, parce que sinon c'est moi qui finira en prison. Alors, défendre la veuve et l'orphelin, ok, mais certainement pas au prix de ma liberté.

A la fin des informations journalières, je me met à zapper. Rien d'interessant. J'éteins donc la télévision en soupirant. Je me dirige vers la salle de bain pour me préparé à sortir, histoire de m'amusé un peu, quand, en passant devant le miroir du couloir, quelque chose retient mon attention. Je m'arrête et fais face au pire ennemi des femmes. En fronçant les sourcils je soulève mon t-shirt en dessous duquel était censé se trouvé des abdominaux peu visible, mais bien présent. Et là, SURPRIIISE, c'est une fine couche de graisse qui se loge sous ma peau.

Je me repasse mentalement les deux dernières semaines que j'ai passé. Etant donné que j'avais décidé de prendre un peu de vacance, j'ai quasiment rien fais de la journée. Télévision, pizza à tout les repas et surtout... aucune activité physique. Je donne un coup de point violent dans le miroir, qui se brise sous le choc. Je retiens un cri de douleur en regardant mon poing qui me lancé. Et voilà, en plus de ma prise de moi, j'endommage mes mains. Du sang coule le long de mes phalanges. Le verre a entamé ma peau. Je soupire d'exaspération et je me rend compte que je suis déçu de moi même. Comment ai-je pu négligé mon physique à ce point là ?

Je me deshabille et jette mes vêtements dans le couloir, me dirigeant vers la salle de bain en fulminant. J'ouvre le robinet de ma douche, et plonge dessous. L'eau brulante coule le long de mon corps et enflamme ma plaie. Je sers les dents. Une fois propre, j'ouvre un petit placard sous l'évier de ma salle de bain et y déniche une trousse de premier soin. J'en sors un bandage que j'attache soigneusement autour de ma main.

Après avoir sécher rapidement mes cheveux et enfiler un short de sport et le débardeur assortit (les deux sont rouges) ainsi que des baskets de course. Je me dirige vers la sortie, saisissant mon portable et une paire d'écouteur. Je fourre le premier dans une poche après l'avoir, au préalable, branché les écouteurs dessus et lancé une playlist.

Le ciel est couvert et blanc. Ce n'est pas un temps pour sortir, mais je m'en fiche. La graisse n'a pas lieu d'être dans mon corps. Je cours comme ça, environ 30 minutes avant d'arriver au gymnase, car il avait commencé à pleuvoir. Je compte bien continuer mon marathon pendant encore une heure ou deux.

Voilà qu'un début d'après-midi s'annonçait. Que faire ? J'avais rien de spécial à faire, alors la question méritait d'être posée non ? Quoi qu'il en soit, pour l'heure, je ne me posais pas la question. Ayant passé ma matinée à faire des mots de retards excusés pour des élèves ou autre, désormais je tentais de trouver une occupation. Bien qu'au fond, ce soir j'aurais sûrement à faire. Quoi que... Tout dépend de facteurs quels qu'ils soient. Pour le moment, je pensais juste à un rendez vous avec une personne que j'avais connu il y a peu. Maintenant que j'y pense, cela est très étrange. Pourquoi ne pas avoir laissé cette demoiselle souffrir dans son coin, pourquoi j'avais été jusqu'à avoir presque pitié d'elle ? Au point de l'accompagner chez elle et l'embrasser ? … ça n'avais aucun sens et pourtant. Je n'avais pas fait ça dans le but de profiter. QUE profiter du moins... Il y avait un truc que je ne comprenais pas et je m'en voulais. Rho puis fuck... Ce rendez vous avec une miss d'un soir, je pouvais l'oublier... Donc je n'ai rien à faire ni maintenant, ni ce soir. Mince alors...

Marchant de manière tranquille, je me dirigeais vers un bar. Un bar cool, fréquenté par un peu de monde, mais pas trop. Bref, le genre de bar où il faut bon vivre. Qu'allais-je y faire ? Bah... Boire.
C'est donc à l'heure du pastis, en supposant que ce soit dans les alentours de treize heure, que j'arrivais dans ce lieu animé. Une scène pour chanter s'y trouvait. Un endroit pour jouer aux fléchettes et bien plus. Attendant patiemment qu'un truc arrive, je commençais par me commander un petit demi le sirotant doucement et tranquillement dans un coin du comptoir. Au passage, je me faisais plaisir en regardant deux trois demoiselles en coin. Avec un regard qui tue... Autant dire que voir les strings de celle-ci ou celle-là, il y avait de quoi exciter, pourtant, je ne laissais rien paraître n'ayant pas pour objectif de m'amuser d'une quelconque manière. Sur ce coup, je m'amusais juste. Après tout, j'ai un don, c'est bien pour m'en servir non ? Que ce soit de manière simple ou de façon sérieuse... Là, ce n'était pas pour être sérieux et je m'en foutais...

Demi finit, consommation finit, voilà que je sortis de ce foutu bar pour aller ailleurs. Au final, j'avais envie de bouger, alors pourquoi ne pas faire un tour au gymnase. Tirer ou taper dans un ballon, ça serait pas une mauvaise chose si ? Marchant avec une démarche pour le moins... nonchalante, j'arrivais dans ce lieu qui était peu fréquenté par contre. Mais visiblement, je n'étais pas le seul à me diriger là bas. La pluie semblant guetter, une gazelle semblait courir. Hm ? …

* Waow... *

Waow car la belle avait un air de déjà vu. En effet, une crinière rouge ainsi, il n'y en avait pas mille dans cette ville et je devais avouer que les personnes bien foutues, je m'en souviens. Demoiselle du coin ? Allez savoir. La suivant en marchant, je finit par la perdre de vue... Mince. Heureusement, super powa est là. D'un coup donc, je me concentrais quelque peu pour voir à travers les murs. C'est utile au fond de pouvoir voir à travers les murs comme si nos yeux étaient des scanners. Regardant attentivement, je finit par voir deux squelettes. Arg... Ma concentration était de trop... Je devais moins me concentrer pour voir par exemple que le corps ou ce qu'il y a en dessous des habits ou que la personne derrière les murs. Deux squelettes dans tout le truc... Et manque de pot...

* BEURK !!! *

Manque de chance, mon regard me montrait les personnes nues et comme un con, j'avais regardé celui à l'entrée qui était simplement le gardien du gymnase. Un peu gras, bref, pour un hétéro, je vous laisse imaginer le déplaisir. Fermant les yeux pour les reouvrir, j'entrais en marchant dans le gymnase, me remettant de la vue peu plaisante, puis j'arrivais dans la pièce principale. Grande comme la moitié d'un stade, je regardais autour de moi pour chercher incognito la demoiselle à la chevelure de braise. Pas là, ni là et là... Au final, j'avais la flemme de jouer au scan toute la journée alors je la cherchais un bref instant, allant même dans la pièce où sont stockés les ballons et filets. Finalement, je me mis à parler à moi-même.

«  Elle a du partir... Mince alors... »

C'est là qu'en me retournant...

Sur la route, j'avais eu une sensation étrange. Vous savez cette sensation mi froide mi chaude. Comme si votre dos brûlait à un seul endroit, provoquant des sueurs froides. Vous avez sans doutes déjà ressentit cette sensation. Mais si, vous savez ? C'est quand quelqu'un vous regarde.

Identifiant cette impression je me retourne en fronçant les sourcils. Personne. La rue est vide et il n'y a que moi. J’accélère tout de même ma course, qui ressemble désormais plus à sprint qu'à une course d'endurance.

Cependant, l'impression que quelqu'un m'observe ne cesse pas. Elle est même de plus en plus oppressante. Tellement présente que ça me donne la nausée. Je m'arrête en pleine course et m'appuis sur un lampadaire pour reprendre mon souffle. La désagréable sensation que je vais vomir me tenaille toujours l'estomac.

Une fois arrivé au gymnase, cette "brûlure" qui me donnait des sueurs froides s'est évanouit aussi vite qu'elle est apparut. Histoire de me sentir plus rassuré, je sors des baguettes chinoises de ma veste. A la base elles me servent pour m'attacher les cheveux, mais elles feront aussi des excellentes armes en l'absence de mes aiguilles.

Je me dirige vers les toilettes pour me rafraîchir le visage. Je décide également que finalement, je vais m'attacher les cheveux. Avec des gestes experts, je coince les baguettes dans mes cheveux de façon à me faire un chignon rapide. Il devrait tenir le long de ma séance de sport.

C'est, la main sur la poignet des toilettes, que j'entend une personne entrer à l'intérieur du gymnase. Par expérience, je sais que personne ne viens dans le gymnase. Le fait de le savoir, et d'en plus,avoir eu la sensation de me faire suivre, me fais réagir presque par automatisme.

Je sors dehors par la petite fenêtre des toilettes et me retrouve dehors. Non, je ne compte pas fuir, au contraire. Mais coupé toute ouverture à mon éventuel stalkeur. Je me retrouve à présent à l'opposé de l'entrée du bâtiment. Après avoir fais le tour, je rentre discrètement.

C'est un homme, environ 1 mètre 80. Il n'a pas sentit ma présence, ce qui signifie que ce n'est pas un professionnel, ce qui me rassure déjà un peu. Il a des cheveux blancs, et en regardant bien, on peut voir que ses racines sont noirs, une coloration donc.

L'homme se retourne, paraissant un peu surpris. En même temps se voir piéger à son propre jeu ne devait pas être très amusant. C'est comme si, le jour où je mourrais, ça sera par un tueur à gage. Mais celui qui décidera de ma mort n'est pas encore né.

Un sourire macabre se dessine sur mon visage. Je sais que mes intentions se devinnent facilement à mon expression. Tant mieux, c'est le but. Je décide cependant de ne pas utilisé mes armes de fortune pour l'instant, histoire de ne pas lui donné un avantage sur moi.

-Alors jeune homme ? Que fais-tu ici ?

Chercher, chercher... Target acquire et au final.. Perdu. Quelle nouille sur ce coup. Dire que je pourrais être un stlakeur de première, incapable d'être attrapé car au fond, je n'avais pas besoin de suivre de trop près, voilà que ma cible féminine du jour m'avait échappée. Zut de zut... Qu'allais-je faire hm ? Retourner en vue totale pour risquer de tomber sur le gros sac à graisse à l'entrée ? Non.. Hors de question. J'allais chercher comme un mec normal. Aussi chiant cela soit-il. Du moins, je le pensais. Car le destin me jouait un tour très plaisant sur ce coup. Alors que je me retournais... SURPRISE !!! Sursautant sur le coup, je vins à reculer et me prendre les pieds dans un amas de tatamis. Tombant sans me faire mal, je laissais parler la demoiselle la regardant de haut en bas.
Pas de doute, s'était elle... La fille à la chevelure rouge sang.

«  Jeune homme... On a certainement le même âge à peu de chose près si ça se trouve... Quant à ce que je fait ici, disons que ça ne regarde que moi. Mais bon, pour ne pas paraître suspect, disons que je cherchais quelque chose... »

Quoi donc ? J'étais sûr qu'elle allait me le demander. Mais là, je ne pourrais pas jouer carte sur table au risque de passer pour un pervers; Quoi donc ? Oh bah toi... Puisque t'es sexy même de dos, donc bon, je t'ai suivis en utilisant mon don de vision. Bien entendu, une telle réponse était impensable. La regardant, je la détaillais, profitant des moments de tranquillité qui me restait. Car à tout les coups, elle ne me ferait pas de cadeau... ça allait gueuler, ça se sentait. Si ça se trouve, le rouge de ses cheveux c'est une teinture fait avec le sang d'une victime... Bon, là je tire le truc par les cheveux, mais bon. S'était mignon et intriguant à la fois.
Un corps svelte, un corps pour le moins bien foutu, voilà ce qu'elle semblait avoir. Je ne trichais pas en usant de ma vision spéciale pour voir vraiment à quel point elle est bien fichue, mais dieu que s'était tentant... Si elle apprenait mon don, elle me ferait enfermer dans dix mille mur, ou me créverait les yeux pour sûr. Quelle horreur. Ne disant rien, je vins à la détailler rapidement. Mucles fins mais présent, chevelure de braise, yeux d'or, poitrine généreuse, elle avait tout d'une fille sportive. Trop ? À voir selon la puissance de son punch...

«  … Pourquoi ? Ça t'intéresse tant que ça ? Ne le prend pas mal, mais aussi sexy sois-tu... N'imagines pas que je te suivais... »

Ou comment dire ce qu'on faisait en le tournant de manière inverse. Piètre performance sur ce coup. Me taisant, je me relevais regardant son chignon. Baguettes ? Je priais qu'elle ne soit pas une pro en kung-fu ou autre art martial, car je serais dans de beau draps. La regardant dans les yeux, je tentais de voir une émotion, mais rien... Pas un semblant de chaleur ou de froid. Le vide et uniquement le vide. Que s'était malsain... Qu'avait-elle subit pour ne rien ressentir ? Continuant de me taire, j'avançais tentant de passer à côté d'elle.

«  Sur ce... ciao... »

Quand il prit conscience de ma présence, l'étrange inconnu sursauta, fit quelque pas en arrière avant de se ramasser lamentablement sur un tas de tatami. Comme... comme une grosse merde. Ce qu'il semblait être.

Ce "quelque chose", je savais très bien ce que c'était. Je suis une tueuse à gage tout de même, je sais reconnaître ou du moins ressentir les intentions des gens. Et ce jeune homme me suivait. Bien sûr, lui ne savait pas que j'étais au courant, ce qui rendit sa tentative de justification incroyable... incroyablement pathétique.

Je fronçais les sourcils. Bien que la situation semble comique, elle ne l'est pas vraiment en réalité. En général, quand une tueuse se fait pisté, c'est soit un pur hasard, soit un contrat placé sur sa propre tête.

Je l'ai déjà expliqué. Je connais beaucoup de secret. Tellement, que cela ne serais pas étonnant que quelqu'un souhaite me faire taire, au cas où j'aimerais les divulgués. Ces hommes politiciens se croient tellement important, que pour eux, leur secret intéressent tout le monde. En fait, c'est le cas, tout le monde veut savoir. Sauf moi. Après tout, c'est leur magouille qui m'apporte mon travail.

Le garçonnet me sortis de mes pensées. Quoi ? Si ça m'intéressait ce qu'il faisait... bien sûr, car sa réponse décidera de son avenir. Enfin, si il répond mal, il en aura plus.

La deuxième partie de sa remarque me fis légèrement rougir. Disons, pas vraiment rougir. Mes joues ont juste pris une légère teinte rosée, à peine visible à l’œil nu. Évidement que je suis sexy, je le sais très bien, et j'en profite.

Il se releva et ésseya de s'enfuir. Mon sourire s'étira et je tandis le bras, lui bloquant l'accès. Le visage toujours droit, je ne lui adressa pas un regard, maintenant qu'il était à ma droite.

-Je vais pas te laisser partir.

En tournant la tête je lui fis un petit clin d’œil avant de faire bouger mes baguettes, les faisant léviter autour de ma chevelure, qui, à présent relâchée, couvre entièrement mon dos, pareil à une cascade sanglante.

-Grâce à mon travail, j'ai appris à savoir quand est-ce qu'on me suivait. Et je peux t'assurer que ce que tu cherchais, c'est moi. Je veux savoir pourquoi. Et fait attention à ta réponse, elle décidera de ta vie, ou de ta mort, au choix.

Chopé la main dans le sac comme on dit. Bon, tant pis, pas question de parler trois ans et passer pour le pedobear du coin. Plutôt mourir d'ailleurs. J'allais trannnnnnnnnnnnnnnnquillement me casser et basta. Du moins, cela était mon objectif. Mais entre obectif et ce qui est fait, il y a un large faussé... La belle n'allait pas me laisser partir visiblement. Il y a qu'à voir son regard quelque peu... colérique ? Bon en même temps, qui aime ce genre d'attentions d'un inconnu. Être stalké... Zut, j'allais passer un sale quart d'heure si elle fait du karatédelamortquituesamaman... Au fond... le karatédelamortquituesamaman aurait été pas si mal... Voilà qu'elle tendis son bras pour m'empêcher de passer adressant un sourire malsain. Oups... ça allait chauffer pour moi là. La regardant en coin, je remarquais immédiatement ses baguettes qui se mirent à léviter. Sa chevelure de feu ne me disait rien de bon là. Ravalant ma salive, je vins à soupirer tentant de garder mon calme.

" ... Tu vas faire quoi ? Me crever les yeux ? .... Ok t'as un don et ? Tu comptes l'utiliser contre moi ? Oh dieu... J'ai déjà vu l'autre pouffe mâle à l'entrée nu à cause de mes yeux, ça m'a suffisamment traumatisé l'esprit, donc la violence avec tes aiguilles en bois, je m'en passerais miss..."

L'air sérieux, peu autoritaire malgré tout, je tentais de la calmer. Oui oui, via une pseudo provocation ou un genre de " oula... calme toi cocotte ". Machoman moi ? Non, pas vraiment, cependant, elle allait pas me marcher dessus sans que je dise mon mot. La laissant faire, espérant qu'elle ait retenue l'histoire du mec à l'entrée, je lui avais clairement dit mon don qui était par déduction de tout voir y compris à travers murs et vêtements... Après coup, c'est pas une si bonne chose car qui sait quand je regarde et quoi surtout... La belle pourrait s'imaginer que je la matte en cet instant même.
Heureusement, je ne ... bandais pas à cet instant car cela aurait sûrement signé mon arrêt de mort, ou celui de mes yeux en tout ca. Mais le pire était la face cachée de cette révélation. Après tout, ce don étant utile, elle pourrait croire que je fait partit d'un groupe contre elle...

" Bon .... ok. Je te suivais car tu es mimi et je voulais simplement faire connaissance. Après, ne t"imagine rien... Je m'emmerdais d'où le fait que voilà... J'ai voulu savoir. Imagine pas que je court après chaque meufs que je vois... ça ferait bite sur patte sinon..."

Riant quelque peu de bon coeur, je vins poser une main sur son bras pour le decendre et passer en faisant un premier pas. Culotté ? Peut-être...